O pays des kiwis
J avais bien prevu de vous montrer quelques photos de la Nouvelle Zelande mais c est sans compter sur ma petite tete (j ai oublie le cordon photo a la maison).
Donc, rendez vous, la semaine prochaine.
A bientot
J avais bien prevu de vous montrer quelques photos de la Nouvelle Zelande mais c est sans compter sur ma petite tete (j ai oublie le cordon photo a la maison).
Donc, rendez vous, la semaine prochaine.
A bientot
Ces derniers jours, la Thaïlande a vécu , au rythme des festivités liées au nouvel an bouddhiste (Songkran).
Comme, en ce moment, notre vie se partage entre Pattaya et Bangkok, nous avons eu la chance de le fêter deux fois (comprendre: doubler ses chances de se faire arroser).
Songkran, ce n'ai pas que rendre hommage à Bouddha, c'est aussi (et surtout) asperger d'eau et barbouiller d'argile tout ce qui bouge. C'est un moment absolument hallucinant de déchaînement collectif*. Les thailandais montent par 20 sur leurs pick-up, préparent leurs pistolets à eau tri-canon dernière génération, les bidons d'eau, font hurler la sono et c'est parti!
Voici, quelques photos qui ne rendent, malheureusement, pas du tout compte de la réalité mais je n'ai pas osé sortir l'appareil photo de peur de ne plus jamais pouvoir l'utiliser.
Kuhn Bastian, là bas au fond, de dos et impassible, après arrosage.
La voiture...ayant subi le même sort.
* Lors de la fête de Songkran, cette année, les autorités ont recensé 3995 accidents de la route dont 324 ont été mortels (source: le Petit Journal de Bangkok / AFP).
Bon, je retourne à la vraie vie. Nos valises attendent d'être remplies. Dans moins d'une semaine nous serons en Nouvelle Zélande (hé hé)
...peut-être partout ailleurs mais pas en Thaïlande. Le temps, ici, aurait même la régularité d'une horloge suisse.
Le mois d'avril est traditionnellement la saison des pluies. Et bien, figurez vous que depuis le 1er avril exactement (pas avant, ni après) des trombes d'eau s'abattent sur notre maison. Et, la même histoire se répète, tous les jours, à 13h (pas avant, ni après).
Je n'ai pas grand chose à vous écrire en ce moment. Une "routine" toute naturelle s'est installée. Mille fois je me suis posée cette même question: puis-je vraiment vous tenir en haleine en vous narrant tous les petits détails de notre quotidien?
Mais en même temps, ce n'est pas très sympa de ma part de ne pas vous donner de nouvelles. Et puis, la vérité vraie, c'est que vous me manquez.
Alors, si vous le voulez bien (et si, surtout, je veux écrire plus souvent) Bellybouton va prendre une autre couleur. Un peu moins thaïlandaise, un peu plus personnelle et beaucoup moins signifiante, si tenté que ce qui était écris avant le sois (gnarf gnarf).
Mais commençons maintenant. Voilà un des plaisirs de l'expat: l'ouverture sur d'autres cultures, notamment lorsque celle çi est japonaise. Mariko a offert à Violette cette paire de sandales en bois "made in" and "from" Japan. Je suis verte de jalousie. Je rêve d'avoir les mêmes. Le seul bémol, et ceux qui savent où nous vivons comprendrons de quoi je parle, c'est que c'est une torture pour les oreilles....et pour les pieds de la miss, apparemment. Malgré tout, j'en profite pour te dire: ARIGATO ARIMASEN MARIKO!
Je sais, vous vous en fichez mais je trouve que ces sandales sont le comble du raffinement. Dès que je les regarde, un monde fait de tatami, de kimono de soie et de onsen s'ouvre à moi.
Juste avant de partir, voilà ma drogue du moment: Thomas Dybdahl, un auteur, compositeur et interprète norvégien aussi doué que barbu, c'est pour dire!
http://fr.youtube.com/watch?v=Cofl1naZQOY
Enjoy!
PS: ne cherchez pas la barbe. Le type, dans le clip, n'est pas Thomas Dybdahl.
Avec un peu d'avance, notre petite famille souhaite un JOYEUX NOEL et une EXCELLENTE ANNEE 2008 à vous, famille, amis, lecteurs de passage ou réguliers.
Pas facile, pour nous, d'être dans l'ambiance de Noël avec 33°C, la mer et les palmiers.
Nous partons quelques jours dans le nord de la Thaïlande avec notre invité de marque, le bien nommé Tonton Dchudchu.
Pendant que j'y pense, puisque l'heure des bonnes résolutions va bientôt sonner et que vous en aurez certainement concernant l'environnement et les économies d'énergie, voici la version écolo de google: www.ecoogle.net.
Le principe: identique au moteur de recherche google sauf que le fond est noir et permet d'économiser quelques Watts par rapport à la version traditionnelle.
Vous voilà parés pour un websurfing eco-citoyen!
A bientôt
Si, déjà , début octobre vous en avez ras la casquette d’aller au travail et/ou que chez vous il fait un temps de §%<#@ et/ou que…. et/ou encore que….. surtout, oui, SURTOUT, ne lisez pas ce post.
Si farniente avait un nom, il s’appellerait, sans aucun doute, Ko Samed. Si c’était un lieu précis ce serait ici:
A 40 minutes de chez nous, à l'issue d’une traversée en bateau, se trouve l’île de Ko Samed. Nous avons posé nos valises et là, ….pouf ! les vacances étaient à nos pieds sans qu’on s’y attendent parce que quand même ce n’était qu’un week-end et que les prochaines "vraies" vacances sont quand même loin et puis aussi parce qu’on sort tout juste des dernières… vous suivez?
La proximité du Resort avec la plage (3 mètres environ) fait que vous pouvez surveiller votre progéniture tout en buvant votre café et même beugler « Violette arrête de jeter du sable sur tes copains, non, ne te jette pas non plus du sable sur la tête et puis remet ton chapeau » sans avoir à vous déplacer pour être entendue.
Le staff thaïlandais est souriant et tout prêt à s’occuper de votre tendre et adorable « excitée » pendant que vous vous offrez un massage thaïlandais digne de ce nom.
Et puis lorsque vous en avez marre de ne strictement rien faire et bien vous dégustez quelques spécialités locales servies par l’excellent restaurant du Resort en regardant les vagues danser.
La vie est dure, je sais.
Il paraîtrait, selon Madame Renon (que je salue) et si Kuhn Bastian ne me raconte pas de bêtises ( ce qui est fort probable ^_^) que certains lisent ce très modeste blog même jusqu'en en Allemagne et qu'ils s'interrogent sur le silence intersidéral qui y règne.
Rassurez vous, nous sommes bien vivant ... tellement vivant que l'on n'a pas le temps d'écrire.
Donc, pour reprendre la marche courante, voici un petit aperçu de notre dernier week-end à Bangkok qui n'aurait pas été possible sans Az El (que nous remercions).
Au delà de l'aspect touristique de notre expédition nous nous devions d'aller voir si les palmiers sont plus verts à BKK qu'à Pattaya et, si, finalement, nous étions prêts à devenir de vrais rats des villes.
Après avoir inhalé des mètres cube de gaz d'échappement, écouté le concert des taxis, camions, mobylettes et autres véhicules à moteur, écumé le macadam défoncé et encombré, sachez que la réponse est ... non! Rats des champs nous sommes, rats des champs nous resterons!
En attendant, Bangkok, c'est par là:
Visage de l'imposant et majestueux Bouddha couché au Wat Pho
Le bouddha couché est le plus grand bouddha de Thaïlande et mesure 46 mètres de long sur 15 mètres de haut
Détail des chédis du Wat Pho
Wat Pho, toujours!
Un autre bouddha, toujours au Wat Pho et bien plus petit cette fois. C'est l'occasion ou jamais de faire une petite prière et de savoir ce que nous réserve l'avenir.
Mi homme, mi animal, voilà de drôles de personnages dont j'ai du mal à identifier l'origine mais dont la finesse des traits me plaît
Un des gardiens du Wat Pho
Un moine à la recherche d'une amulette
Réminiscence de Shanghaï. Normal, nous sommes proche de Chinatown
Découverte des klongs à bord d'une immense barque à moteur
Aux antipodes du bruyant et bétonné Bangkok, la vie au bord des klongs semble s'écouler paisiblement
Enfin, des fois, on voit aussi ça!
Voilà, c'est fini pour aujourd'hui.
Aujourd’hui ça a été le premier jour de crèche pour Violette.
Petite fleur va devoir faire avec l’uniforme, deux nouvelles langues, la prière tous les matins (sic), les cours de yoga (!), la douche obligatoire après le déjeuner, la sieste, les caprices suivis d’un sévère «stop» qui a l’air de fonctionner (nb: voir si ça marche aussi à la maison. Update: evidemment, non, cela ne fonctionne pas) et surtout fini les couches qui sont désormais remplacées par une visite aux lieux d’aisance toutes les 30 minutes (!!)
Un autre pays, une autre culture, une autre méthode éducative…
Vous n'allez pas me croire mais c'est la vérité vraie. Nous n'en avons pas encore fini avec la "virus" story. Violette a encore passé 3 jours à l'hôpital cette semaine et maintenant c'est à mon tour d'être malade.
La famille a un mal fou à gérer la saison des pluies, l'humidité et la chaleur accablante alors même que nous sommes, normalement, rarement malades.
Si vous avez un truc pour éloigner le mauvaise oeil, please, faites le moi savoir parce que, de mon côté, et vu que les incantations dans le jardin ne marchent pas des masses, je vais être obligée de convier 7 moines à la maison pour qu'ils fassent déguerpir cet emmerdeur de mauvaise esprit. Et, là, je vous avoue que je n'ai pas trop envie.
Allez, je prends un peu d'avance et en échange de vos super suggestions, je vous envoie 2 plages, du sable chaud, beaucoup de soleil et des bateaux.